Censure

Facebook sert à surveiller, contrôler et influencer

Au Québec, l’usage de Facebook a lieu au quotidien, par à peu près tout le monde, pour connecter avec des cercles rapprochés comme des membres de la famille ou des cercles éloignés.

Autant Facebook rapproche ses membres dans une plate-forme numérique dite “sociale”, autant le perdant dans cette géométrie des choses, c’est la société, elle-même qui existe de moins en moins dans la manifestation et de plus en plus dans la fiction numérique présentée comme la “nouvelle normale”.

Une “normale” où, au fond, très peu d’aspects sont vraiment normaux puisqu’à peu près tout est calqué sur le modèle d’une prison.

Et puisque c’est gratuit, avec une possibilité d’abonnement, c’est le membre de Facebook qui est le produit à surveiller, contrôler et influencer.

C’est d’ailleurs-là une opération multimilliardaire, annuellement qui canalise les forces vives d’une importante part de la société vers les narratifs que la plate-forme Facebook permet, en ses (proverbiaux) murs numériques.

Les “standards de la communauté” de Facebook confirment, en mots, qu’il s’agit bien d’une prison car ces “standards” sont des “ordres” applicables de manière arbitraire, unilatéralement par des censeurs sans noms et sans visages (ironique pour “face book”) qui censurent n’importe quoi, pour des raisons qu’ils n’ont même pas à contextualiser.

Comme avec mes deux censures, coup-sur-coup, contre mes deux publications qui dénonçaient le Groupe Bilderberg, lors de son rassemblement “secret” à Madrid, en Espagne, du 30 mai au 2 juin 2024.

Et dans ma deuxième (toute petite) publication, je n’ai même pas écrit le mot “Bilderberg” mais parce que je dénonçait cet événement occulte, je me suis fait censurer parce que ma publication était considérée être du “spam”. Du grand n’importe quoi mais Facebook n’a pas à se justifier alors ils décident ce qu’ils veulent, en toute impunité.

Et c’est voulu ainsi.

D’habituer les gens à des maîtres invisibles qui les persécutent parce qu’ils n’ont pas pensé la même chose que la classe mondialo-tyrannique qui détient les pouvoirs dont ils s’auto-déclarent investis, comme à l’ONU où les scélérats se nomment entre-eux, à nos frais et contre nos intérêts.

C’est un niveau de perversion idéologique odieux.

De pousser les membres de la puissante plate-forme à l’auto-censure, permanente, sous peine de punitions, graduellement de plus en plus sévères, au fil du temps.

Et même quand vous bâtissez de beaux groupes, dans Facebook, il suffit d’un “visiteur” malveillant qui publie des images louches pour faire censurer le groupe, pour toujours, sans appel digne de ce nom.

Ainsi, baser une partie ou la totalité de vos activités commerciales dans Facebook est une approche très risquée puisqu’à tout moment, pour des raisons complètement hors de votre contrôle, votre dur labeur peut être supprimé, à tout jamais.

Et vous ne pourrez plus jamais y avoir accès.

C’est ça, Facebook… un grosse prison numérique d’entrainement à une prison réelle, sous des noms trompeurs comme le “développement durable”, le “build back better” ou les horribles “villes 15 minutes” qui ont littéralement l’aspect de prisons avec des cellules aussi petites que possible et de la surveillance en permanence… et des pénalités, comme dans Facebook.

Et les faux comptes

N’oubliez pas les océans de faux comptes, des milliards d’entre eux qui, eux, peuvent arnaquer, hameçonner, pirater et voler à souhait.

Pourquoi?

Parce que le but est de créer, de toute pièce, les “méchants” comptes anonymes pour justifier l’imposition de vérifications d’identité, dans Facebook. Et c’est déjà le cas, de toute manière puisque nombreux sont ceux qui ont déjà dû “prouver leur identité” en fournissant leur permis de conduire ou leur passeport pour avoir “le droit” de demeurer, dans Facebook (sinon, leur profil aurait été effacé, sans appel).

On s’entend qu’il y a une spectaculairement grande différence entre un vrai compte et un faux compte (les “coucou, je peux te parler en privé” qui polluent intentionnellement la plateforme) mais pour Facebook, c’est tout-bénéfice parce que ça frustre tout le monde et ça donne l’impression qu’il faut sans cesse des règles plus strictes alors que c’est juste Facebook qui niaise les membres pour les rendre complaisants ou apathiques, en quelque sorte, avec la censure des vrais comptes qu’opère Facebook.

C’est de la manipulation.

Et il y a des filières criminelles qui s’enrichissent sans être embêtés via ces faux comptes, dans Facebook. Qui empoche réellement les milliards engendrés par cette criminalité à laquelle les services policiers font très attention de ne jamais s’intéresser?

Vous le savez d’instinct, il y a un volet de cette arnaquerie qui nous est volontairement cachée afin de nous déposséder de tout, incluant la dernière de nos certitudes qu’on peut faire usage de notre liberté d’expression parce Facebook entraine les gens à craindre leurs propres réflexions et à rechercher, obsessivement, les consentements externes, incluant ceux des mercenaires grand médiatiques qui sont payés en partie par les fonds publics et qui obéissent aux mêmes tyrans mondialistes qui possèdent et opèrent ce que j’appelle Prisonbook.

Alors si vous voulez faire l’expérience de la prison du futur que les tyrans préparent pour les peuples, il suffit d’aller dans Facebook et de défier les narratifs de propagande avec votre propre sens commun. Dès que votre profil gagnera en popularité, ce que vous direz deviendra radioactif si ça va à contre-sens de ce que Facebook vous permet de dire.

Et rappelez-vous combien les “standards de la communauté” qui n’ont, par ailleurs, rien à voir avec “la communauté”, ont été prévus pour vous prendre en défaut sous presque n’importe quel angle, selon l’intention de censure-du-moment voulue par Facebook.

Mais il y a pire

Selon moi, le pire dans tout ça, c’est la naïveté des membres et de la société en général qui n’a pas conscience de l’arme qu’est Facebook, contre nous tous.

Des millions de Québécois et de membres de Facebook, à travers le monde, utilisent cette plateforme sans se demander à quoi elle sert, vraiment.

Ces consentistes-en-toutes-choses intègrent la propagande pro-Facebook et n’auraient-même jamais l’idée de remettre quoi que ce soit en question.

Et alors qu’avant, les jeunes étaient des rebels (et c’était parfait ainsi), aujourd’hui, via le divisionnisme woke, la paranoïa climatique, la destruction des hommes et des femmes pour donner toute la place aux fictions des genres (inventés, sans égard à la réalité) et bien, on se retrouve avec une jeunesse désabusée qui carbure aux “memes” (ces images grinçantes) qui n’enseignent rien sauf une valorisation toxique de milles teintes de médiocrité.

Les tyrans rient en voyant les masses ignorantes alors ne faites jamais partie de ces cercles de servitude intellectuelle et conservez votre propre connexion à vous-même, sans devoir sous-traiter vos pensées à des mercenaires qui vous veulent pauvres, malades et faibles (dans tous les sens).

Merci d’être vous et non-pas le résultat recherché par les plate-formes de censures, comme Facebook.

Claude Gélinas

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  1. Très bon résumé merci Claude

a group of people standing on top of a beach next to the ocean

Créer votre propre fiducie, au Québec

La création d'une fiducie offre divers avantages selon les besoins individuels. Par exemple, les entrepreneurs peuvent protéger leurs actifs personnels, les familles simplifier la succession, et les propriétaires réduire les [...]
Lire la suite
claude.ca
Une culture d'idéation qui contribue à repousser les limites des possibles.
Si vous souhaitez m'encourager via Interac, mon courriel est cgelinas@logixca.com et la réponse suggérée est "Claude", merci!
Encouragez-moi en cliquant sur ce bouton d'affilié avant d'acheter dans Amazon.
Certains droits réservés © 2023-24 par Logixca